Ryûzoji Kim

Voilà enfin l'histoire l'histoire =)

Histoire : [12 lignes au minimum]

Je suis née il y a 25 ans, d’un père faisant partie de l’armée et d’une mère psychopathe. Je suis dur, mais c’est ainsi. Mon père travaillant pour l’armée, n’était pas là souvent, et puisque ma mère ne s’occupait pas tellement de nous, je restais tout le temps avec mon frère Jun. J’avoue m’être vraiment attaché à lui au point de ne plus pouvoir aujourd’hui me passer de lui. J’ignore si c’est de l’affection parce que c’est mon frère ou c’est plus.
Bref, mon père j’ai du le voir un week-end tous les 2 mois, pas plus. Ce qui me désole grandement puisque les rares fois où je le voyais je passais du bon temps avec lui et Jun… C’était le paradis en fait. Il nous montrait ses armes, et nous montrait comment s’en servir si bien que dès la première fois qu’il nous avait laissé les prendre pour voir, j’avais réussit à atteindre la cible avec exactitude (quand je vous dis que je suis fait pour être soldat faut me croire). Ma mère n’était pas trop contente du fait qu’il nous permettait de s’en servir, mais ni moi, ni Jun, ni mon père l’écoutions pour une simple raison : elle était folle. On avait 7 ans, Jun et moi quand on a apprit sa mort… et pas de façon très drôle…

« Deux petits garçons de 7 ans poussèrent la porte de leur maison, content de leur journée d’école puisque de toute manière, ils étaient tout deux les plus redoutés et on les laissait toujours tranquilles, seuls, rien que tous les deux. Quand ils refermèrent la porte, ils entendirent des rires, et allèrent dans la cuisine pour savoir qui et pourquoi, cette personne riait avec tant de gaîté…
-Maman ! dit le premier en s’avançant, pourquoi ris-tu ?
-Kim !! Jun !! Nous voilà enfin libérés !! Vous êtes libres comme moi de cette personne qui nous faisait tellement de mal !!
-Quoi ? Mais de qui ? »
Kim suivit le regard de sa mère et s’avança vers la table pour prendre dans ses mains d’un enfant de 7 ans, une lettre envoyée par l’armée.
« Mme Ryûzoji,
J’ai la terrible tristesse de vous avancer, la mort de votre mari, Mr Ryûzoji. Votre mari, est mort dans un des combats qui ravagent le pays, en voulant vous protéger, comme il protégeait tous les citoyens de cette ville et du pays de la guerre.
Nous … »
Kim laissa tomber la lettre au sol et regarda sa mère avec des yeux noirs, remplis à la fois de chagrin et de haine envers celle qui riait de la mort de leur père, et de son mari. Dès lors, toute leur vie changea… »

Ma mère, était si heureuse de la mort de notre père, qu’une rage noire s’était emparée de moi, mais que pouvais-je faire contre elle ? J’étais un gamin de 7 ans, et même si elle était folle c’était une adulte ! Ce qui la rendait encore plus dangereuse, c’était sa folie… Je n’ai jamais eu peur d’elle, mais elle ne nous faisait pas du bien…

« C’était un des jours les plus chaud de cet été qui dévastait le pays, et une femme couchée sur un canapé dans une pièce sombre pour avoir de l’ombre, regardait avec des yeux si heureux deux enfants, qui rentraient dans la maison, les bras chargés de courses. Oui, Kanako les faisaient travailler comme personne n’imaginerait faire travailler ses propres enfants. Le plus surprenant était que c’était justement cela qui motivait Kanako, c’était de faire travailler ses enfants à elle, et à celui qui était mort, son défunt mari. Ils entrèrent dans le salon, et le plus grand de quelques heures, Kim, lui jeta un regard noir, dégoûté. Il la haïssait tellement… elle qui lui pourrissait sa vie et son enfance. Qui lui pourrissait son frère, qui ne les laissaient pas se comporter en tant qu’ados âgé de 14 ans… et pourtant ils obéissaient, sachant qu’un jour justice serait faite. » .

Oui, je savais qu’un jour je pourrais hurler au monde justice, contre elle… que je me vengerais de mon père et de ce que Jun vivait à cause d’elle. Je la haïssais tellement ! au piont que je rêvait la nuit que je la tuait, ou qu’elle mourrait, mais qu’elle n’existait plus. Qu’elle nous laisserait en paix.
Nous sommes entrés dans l’armée à l’âge de 15 ans, et je peux vous dire, que si j’avais pu, j’aurais crié au monde mon enthousiasme. Les gens de l’armée pensaient que j’étais juste heureux d’intégrer l’armée, et je n’ai rien fait pour les en dissuader. J’étais presque euphorique, c’était impressionnant. Moi qui ne montrais rien d’habitude, j’étais tout le temps en train de sourire… mais ce n’était que la première année. Nous étions doués moi et Jun… très doués même…

« Deux personnes très hauts gradées de l’armée étaient là, devant eux. C’était à la fin de leur première année, et ils devaient montrer ce qu’ils avaient apprit au cours de leur apprentissage. Ils s’assirent sur des chaises, pendant que les deux jeunes hommes entraient dans la salle. Kim était le premier à passer. Il prit une des armes a feu fasse à lui, et ne prit pas la peine de réfléchir, il tira, visant tout juste le cœur de la cible. Il se tourna et tendit l’arme à son frère, qui prit l’arme et tira. Ils étaient tout deux des hommes dotés d’une précision implacable et d’une insensibilité imparable. Les deux examinateurs étaient tous deux fiers de ces deux jeunes recrues, qui ne ferait pas long feu dans le bas de la hiérarchie de l’armée. Ils avaient à présent pour els deux frères, pleins de projets en tête et quand un des général de l’armée eu vent de ceux deux jeunes prodiges, ils décida de les surveiller, de très près. » .

J’étais décidé à ce que Jun et moi montions très haut dans l’armée, même si je devais tuer un nombre incalculable de personne. C’était toute ma détermination qui jouait sur mes capacités de tuer. Je faisais peur même à certain de mes camarade face à mon indifférence. A 18 ans, Jun et moi étions déjà reconnus pour nos méthodes « implacable » pour tuer, et notre indifférence en faisait frissonner bien plus d’un, je peux vous l’assurer. Même si nous n’étions pas reconnus en tant que personnes hautes gradées dans l’armée, nous faisions peur, et le général qui nous faisait surveillé n’était pas vraiment discret …

« Ils étaient suivit depuis déjà 2 ans, et la patience de Kim avait fait du très bon travail déjà, mais commençait à faiblir. Ainsi, les deux jeunes s’étaient tapis dans l’ombre et quand l’homme qui les suivait entra dans la rue, Kim n’eut aucun mal à le plaquer au mur, la main sur la gâchette de son arme, pointée sur le cou de sa victime.

« Pourquoi nous suis-tu ?
- Relâcher moi tout de suite Kim Ryûzoji.
- Et si je ne veux pas ?
- Je ne dirais rien. »

Kim lâcha l’homme qui tomba lourdement sur ses pieds. Il regarda avec frayeur Kim et raconta tout. Ils apprirent ainsi, que le général les tenait à l’œil non pas pour une erreur qu’ils auraient faite, mais juste par attirance pour leurs techniques, et leur indifférence… »

Il est vrai que notre indifférence à Jun et moi est assez convoitée si bien, que l’idée que le général la veuille ne nous fit pas sauté de joie contrairement à ce qu’on peut penser. Je n’était pas vraiment partant pour être surveillé … Je détestais ça même. J’en devenais nerveux même ! Je dois reconnaître que sans Jun, je serai sûrement aller le trouver ce général, pour lui dire tout ce que je pensais de lui… Enfin bref, nous étions connus dans l’armée pour nos techniques, qui ensemble, faisaient ravage. Car oui, je n’agissais qu’avec l’appuie de Jun, et lui avec le mien. Il était mon ombre, et j’étais la sienne. Sans lui, mes pratiques n’étaient rien, et sans les miennes, les siennes étaient équivalentes au néant. Nous étions chacun la moitié de l’autre. Ainsi, quand le général su que nous étions au courant de sa surveillance, il nous fit appeler à lui, et j’en étais plutôt content, car cette surveillance me pesait.

« Le général était assit derrière son bureau, et quand il entendit des voix derrière la porte, ne prit pas la peine d’attendre qu’elles toquent à la porte, il leur ordonna d’entrer. Kim et Jun entrèrent dans la pièce et Kim referma la porte derrière lui. Son regard ne reflétait rien d’autre que de l’indifférence et ce regard ainsi que celui de son frère, plus tout de suite au général. Tout deux iraient loin.

« Bonjour. Lança-t-il avec gravité.
- Bonjour, lui répondirent les deux garçons d’une seule et même voix.
- Je me présent, Général Nakamura. Je vous ai fait appeler pour une raison bien spécifique. » Devant leur silence, le général continua son discourt. « Si je vous ai appelé, c’est pour vous proposer un poste auprès de moi. Continua-t-il tout en les regardant. Kim s’avança alors d’un pas.
- Quel poste ? demanda-t-il d’une voix neutre.
- J’ai besoin de deux gardes du corps. »

Kim ne prit pas la peine d’avoir un échange vocal avec son frère. Un simple coup d’œil lui avait suffit pour avoir la réponse.

« - On commence quand ? » »

Ainsi, Jun et moi entrèrent dans le service du général en temps que garde du corps. C’était … parfait. Nous étions montés en grade au point d’être connus partout, et nous étions ensemble. Un seul détail nous dérangeait encore. Il était simple à régler, mais dangereux. Notre mère, était toujours vivante dans cette maison où elle nous avait torturé, où elle nous avait fait souffrir… C’était à son tour de souffrir… Je me l’étais juré ! Quand j’aurais tout gagné avec Jun, nous crierions vengeance ! Et cette heure venait de sonner… j’en étais sur.

« Kim et Jun entrèrent dans la maison de leur mère, le visage fermé. Kim main derrière le dos, ferma la porte de la maison à clé et suivit son frère dans la pièce centrale : le salon. Elle était là, couchée dessus. Elle n’avait pas tellement changée au cours de ces années passées sans nous… juste un peu vieillit. Quand elle les vit entrer, elle se redressa avec un sourire démoniaque sur les lèvres.

« Je savais que vous reviendriez.
- En effet, nous revoilà. Lança un des deux frères.
- Pourquoi êtes vous revenus ?
- Pour que tu comprennes enfin ce que nous ressentions, quand nous étions sous ton pouvoir. Répondit l’autre tout en souriant. »

La torture avait commencé pour la femme, qui ne pouvait se défendre. Jun en était l’auteur pendant que Kim nettoyait son arme. Jun la torturait, Kim l’achèverait. Kanako souffrait si bien que les deux garçons ressentaient sa douleur et leur faisait du bien. Ils étaient tout simplement heureux. Quand ils ressortirent de leur ancienne maison, le corps de la femme était étendu par terre, avec beaucoup de style. Quand la police trouva le corps, personne n’osa soupçonner les deux garçons, qui en bons comédiens, affichaient leur peine de cette triste nouvelle. »

Des clous. Ma peine n’était qu’un sentiment peint sur mes traits alors que ma joie à l’intérieur bouillonnait ! J’étais heureux tout simplement, et comme jamais je ne l’avais été. Jun et moi étions libéré de cette sorcière qui était notre mère et étions membres de l’armée ! Que demander de plus ? Jun et moi étions toujours aussi proche, si pas plus, au point que vivre sans lui aujourd’hui n’est plus pensable pour moi… Je ne vis que pour lui.

Aujourd’hui aussi insensible et indifférent que nous sommes, nous sommes toujours l’ombres de l’autre et quand mes moyens de suffisent pas, Jun se charge de la torture et je finis le travail. Etant tout deux assez propre dans notre travail, nous ne laissons que ce que nous voulons montrer derrière nous… Attention à vous parasites… Nous ne sommes pas vos amis bien au contraire.