[Présentation] Shiro Hirashima {A finir}

Messages : 15 Date d'inscription : 20/09/2008

Identité.

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En attente de set ^^
Nom :
Bien que le virus ait atteint une grande partie du système neuronal de ce jeune homme, bien que les dégâts physiques et mentaux de cette saloperie soient majeurs sur lui, le rabaissant, selon les dires du gouvernement, à moins qu'un être vivant, il n'en demeure pas moins humain. Une perte de connaissance a engendrée son oubli d'identité, ce qui a fait qu'il ne se souvient même plus qui il est. Cependant, par volonté de rester "humain", lui, comme d'autres, a choisit de se trouver un nouveau nom. Un nouvelle identité, correspondant à une nouvelle vie ; à cet enfer, ce cauchemar, qui désormais est leur quotidien. Hirashima. Pourquoi ? Pourquoi s'appeler Hirashima ? Un beau jour où il errait, seul, malade comme un chien, blessé dans son corps et dans son âme, il était tombé devant un mur en ruines, donc la majeure surface avait été recouverte de tags et de graffitis en tous genres. Ses yeux clignaient à cause de la force trop importante du soleil et de la lumière. Il était vidé de sa contenance, s'agrippant aux bords de la couverture en laine crasseuse qu'il portait sur ses épaules. Sa mémoire l'avait quitté. Il a mit des heures avant de pouvoir déchiffrer les lettres et les caractères de katanaka qui étaient inscrits sur ces décombres. Voir quel lettre correspondait à quel son, les formant avec sa bouche, poussant d'abord des gémissements plaintifs avant d'articuler des sons. Hirashima, c'était ce qui était écrit. Non, il n'y avait pas de signification particulière à ce mot. C'est juste le premier qu'il a été capable de prononcer après son infection, cette simple signature d'un taggeur anonyme et mystérieux. Quand les contaminés l'ont trouvé, amorphe et fantômatique, et qu'ils lui ont demandé son nom, la première chose qu'il a répondu était : "Hirashima".

Prénom :
Le prénom de ce garçon est moins un mystère pour lui que le reste de son identité. Étrangement, il se souvient encore de comment il s'appelait avant, mais ce n'est pas grandiose. Parfois, durant des rêves si absorbants qu'ils en paraissent vrais, il se remémore son passé, se souvient de ce qu'il était, sans jamais s'en souvenir le lendemain. C'est comme si son conscient n'avait pas la force d'ordonner à sa mémoire ce que son inconscient trouvait si facile. Ca paraissait si simple, de rêver. Les flashs reviennent, par bribes. Une jeune femme. Elle est blonde, européenne, les cheveux bouclés. "Shiro !" dis-t-elle en riant, l'air légèrement outré. Elle court, le vent fait voler sa robe blanche légère. Elle, à nouveau. Il ne sait même pas comment elle s'appelle. Elle lui dit qu'elle l'aime. Un homme, vêtu d'une blouse blanche, l'air sérieux, la cinquantaine. "Tu as fait le test de DEA Shiro ?" demande-t-il. Il est froid, mais au fond paraît gentil. Instinctivement, Shiro l'aime bien. A nouveau, cet homme. D'où provient tout ce sang ? Encore, une autre fois. Il est dans ce qui lui semble être un tribunal. "M. Shiro ... ici présent ... condamné ... Peine capitale." c'est flou. Que se passe-t-il ? Nouveau flash. Ses pensées tourbillonnent, il se réveille. Il sait qu'il a rêvé, mais de quoi ? Tout ce qui lui reste, chaque matin, c'est ce "Shiro" qui le hante ... Shiro ...

Âge :
Pour quelqu'un qui n'a jamais perdu ses souvenirs, il n'est pas difficile de savoir quel âge on a. Demandez à une enfant de cinq ans, qui vous sourira de toutes ses dents (même celles qui manquent), en vous montrant sa main avec les cinq doigts bien écartés, si fière d'elle. Lorsqu'on a demandé l'âge de Shiro, il ne pu répondre. La raison est simple. D'une part, il ne sait même plus qui il est, ce qui, en soit, paraît déjà une contrainte quel que peu astreignante ; la seconde raison est qu'il ignore la date exacte d'aujourd'hui, comme beaucoup de monde. Autrement dit, il ne peut se donner qu'une approximation. A voir, ce reflet squelettique et fragile, on dirait qu'il est jeune sans l'être. Peut-être vingt, vingt-cinq ans, qui sait ? Comment deviner, à cet âge là, on ne peut vraiment différencier...

Orientation Sexuelle :
C'est une plaisanterie ? Les amnésiques oublient bien souvent leur nom, leur identité, leur adresse et jusqu'aux tréfonds de leur passé. Mais, étrangement, il subsiste des éléments de souvenirs, dans l'ensemble des cas. Le patient sait écrire, lire ou compter. Il peut vous dire ce qu'il aime, ou n'aime pas. Il sait toujours faire du vélo, ou saura allumer la télévision, appeler quelqu'un. L'amour n'échappe pas à cette règle. Bien souvent, on ne reconnaît pas la personne que l'on aime quand on la voit, et il n'y a pas besoin d'être amnésique pour cela. On peut la voir, la laisser passer, en haussant les épaules. Une femme comme une autre, se dit-on. Pas Shiro. Il sait qu'il aimait cette femme dans ses rêves. Il sait qu'ils étaient proches. En revanche il ne sait pas pourquoi. Il se doute bien qu'elle doit être morte. Il se doute bien que cette connerie de virus l'a tuée, elle aussi, malgré tout. Il en a mal au cœur et au ventre, pourtant, il ne sait pas qui c'est. Il sait aussi qu'un homme n'aura jamais sur lui l'effet d'une femme. Mais que, de toute façon, aucune créature, aussi rêveur puisse-t-elle nous laisser, ne lui rendra son amour. C'est son inconscient qui le lui a dit. Ça, les sentiments, il ne les a pas oubliés. Pourquoi l'aime-t-il, comment, quel était le genre de leur relation ? Etait-ce réciproque ? Il ne le sait même pas. Mais il l'aime ... Ça suffit pour savoir ce qu'il en est d'une éventuelle orientation sexuelle ou sentimentale.

Rôle au sein des Contaminés :
Je ne sais pas quel rôle a Shiro pour l'instant. Admin =) ?

Arme(s) fétiche(s) :
Rappelez vous sur ce que j'ai dit sur l'instinct de l'amnésique, à quel point il parvenait à se souvenir de choses essentielles instinctivement, mais pas de sa propre personnalité. Sur ce schéma là, il se trouve que Shiro n'échappe pas à la règle. Il s'est retrouvé, il y a quelques mois, peu après son arrivée, avec une longue tige de métal entre les mains ; une sorte de tube cylindrique en acier oxydé - il fut autant étonné d'avoir pu reconnaître la nature de cette matière. Il tenait donc ce tube, et l'avait prit comme on prend une épée, une lame ou autre. Et, aussi incroyable que cela puisse paraître, il commença à la faire tourner, à jouter avec. On aurait dit un chevalier, un samouraï ou autre guerrier martial maître de l'art épéiste. La lumière s'affichait sur son visage creusé et sombre chaque fois qu'il s'amusait de la sorte, tel un gamin. Au bout de quelques jours, il prit l'initiative de se forger et fabriquer sa propre épée, une gigantesque lame grossière mais légère et tranchante. Même si elle donne l'air de peser une tonne, il la manie facilement. Elle est équilibrée à sa propre force, et il ne semble même pas se rendre compte que le titane qui compose son arme est extrêmement lourd ... Cette impressionnante rapière est son outil de combat favori, néanmoins, il porte aussi deux armes de poing à la ceinture. Oui, il fait très néo-guerrier, mais jamais personne n'a eu à se plaindre de son courage ou de son abnégation sur un champ de bataille, face aux Soldats.

Profil.

Caractère : (7lignes c'est insultant ^^)
Un étudiant en premier année de psychanalyse freudienne pourra vous confirmer à coup sûr que l'état mental et psychologique d'un être adulte s'est constitué à l'enfance, ou durant son adolescence, étant la résultante de diverses expériences et d'un vécu propre à chaque individu : milieu social, éducation, vie sentimentale, amoureuse et amicale, entente cordiale ou non avec les parents, troubles ou non, et ainsi de suite. Pourtant, les amnésiques ne sont pas soumis à cette loi dans leur conscient. Leur inconscient, nommé aussi le "sa", ou "moi profond", est la véritable personnalité d'une personne, que paradoxalement personne ne connaît, pas même elle. Parce que chacun joue un rôle face à une situation donnée, et ne réagira pas de la même façon que sur une autre situation, ni qu'une autre personne. Chez les amnésiques, ce moi profond subsiste, et c'est cela qui a été forgé par le passé de Shiro. Cependant, il n'est plus cette personne. Il n'a plus cette conscience (ou plutôt, inconscience) qu'il était avant. Il est quelqu'un de nouveau, et on voit bien des amnésiques développer une personnalité nouvelle ne correspondant pas à la première. Shiro n'est pas lui-même. Il essaye. Il est passé par tous les plans d'émotions, tentant de voir laquelle lui convenait le mieux. Il a la sensation bizarre de ne pas être lui-même, sans savoir expliquer pourquoi. Il sait qu'il ne se souvient pas, mais de quoi ? Il a beau chercher, il ne trouve pas. Etait-il drôle ? Intelligent ? Romantique ? Ou était-il méchant, cassant, sarcastique ? Avait-il des amis, des gens sur qui compter ? Sortait-il le vendredi ou le samedi soir avec eux ? Allaient-ils faire la tournée des bars en riant comme des babouins, enchaînant les bières ? Il ne le sait pas. Il a essayé de trouver ces sensations, en ressentant tour à tour de la haine, de la colère, de l'amour, de la souffrance, de la joie, de la tristesse. Il ne sait rien. Il ne se souvient pas. Alors, plutôt que de tenter d'être quelqu'un d'autre, il essaye de n'être personne. Shiro est froid, distant, ne cherche ni la compagnie des autres, ni leur pitié, ni leur compassion. Il reste solitaire la plupart du temps, parle peu, réfléchis beaucoup. C'est sa manière à lui de décompresser. Il ne cesse de rechercher sa vraie personnalité. Il ne s'est que très rarement mit en colère, seulement lorsqu'il se sentait étrangement blessé par des propos malhabiles d'un des contaminés. Sur des sujets avec lesquels il n'avait pas la moindre affinité, il prenait la mouche, prenant un propos général comme personnel. A chaque fois, il s'interroge. Est-ce l'héritage de son ancienne vie ? Réagis-t-il instinctivement par principe face aux attaques de gens malavisés ? Peut-être tel sujet était plus sensible que tel autre auparavant, et son inconscient s'en souvient. Shiro se bat pour sa mémoire, et observe beaucoup ses propres réactions face aux situations. C'est sa façon à lui de chercher qui il est.
Shiro n'aime ni ne déteste personne ; autant dire qu'il s'en fout. Ce qui l'importe, ce n'est pas la survie de tout le monde, et encore moins sa propre survie. Ce qui l'intéresse, c'est la vérité, ce qu'il est. Et pour ce principe, il ira jusqu'au bout.

Malheureusement ... Le virus, s'il a des effets physiques importants sur le sujet atteint ... Peut aussi avoir d'importantes répercutions mentales et psychologiques. Et beaucoup des souvenirs de Shiro, lors de ses rêves, sont aussi des cauchemars. Des visions atroces, de cadavres déchiquetés, aux membres éparpillés. Du sang partout. Ça suinte à travers les tissus déchirés. Des corps carbonisés, d'autres criblés de balles en attente d'une crémations. Des gens en tenue anti-contamination, jaunâtres et fantomatiques, qui les balancent comme des sacs au contenu agricole peu avenant. L'humain n'est plus rien. D'autres visions. Il semble reconnaître certains des corps qui sont présentés à son regard. Ses yeux se brouillent, il semble pleurer. De la haine, partout. De la tristesse, partout. Le virus a exploité ces sentiments, les a décuplés. Shiro se réveille parfois sans vraiment se réveiller. Il est ... Encore quelqu'un d'autre. Encore. Et sa soif de sang est sans limite. Il doit être abreuvé, il doit libérer cette violence et cette colère qu'il a emmagasiné en lui, sinon, il se tuera lui-même. Et ce sont les soldats, qui prennent. Bien sûr, qui d'autres ? Dans ses rêves, c'étaient eux les salopards qui faisaient toutes ces horreurs. C'étaient eux les enfoirés qui s'en prenaient aux vies humaines. Mais Shiro s'interroge. Est-il l'un d'entre eux, pour avoir pu observer leur manège de si près ? Est-il l'un de ces atroces criminel ? Est-il dans leur camp ?
"Shiro, réveille toi ..."
Son regard s'ouvre à nouveau sur le monde. Il se sent mieux, il est au centre de cadavres éparpillés, qu'il a tranché lui-même de sa propre épée. Oui, il est bel et bien un monstre. Un dangereux psychopathe ... Dont la vengeance est le motif, la mort le prix, et la vérité le but.

Physique :
Shiro n'a jamais été faible physiquement, sauf pendant la période où il était le plus atteint par cette foutue maladie. Mais maintenant, ça va mieux. Il est capable de soulever, transporter, aider du mieux qu'il peut. Ce qu'il fait. Il est habile, agile et rapide de ses mains. Il ne rechigne pas à l'effort, et cela se ressent sur son corps. A force de rendre de nombreux services physiques, son corps s'est plutôt joliment formé, même si le seul à en profiter, c'est le miroir fissuré de sa salle de bain ...
Le cerveau humain bride ses propres capacités à 10% de sa réelle puissance. Il en va de même pour les muscles, dont la limite est de 20%. C'est cette limite que tenteront de repousser de nombreux scientifiques ou athlètes, dans l'un ou l'autre des deux sens. Pourquoi, me demanderez vous ? Pour une raison simple. La capacité musculaire, sa force, est de se contracter ou de se rétracter. Se tendre ... Ou se détendre. Le cerveau, et, plus particulièrement, l'inconscient de tout individu, empêche cette limite d'être franchie. Afin que les muscles ne se déchirent pas, entraînant des hémorragies et une mort plutôt peu douce. Quant au cerveau, personne ne sait ce qu'adviendra d'un individu qui outrepasse ses limites. Il n'y a qu'une personne dont l'inconscient est dérangé, un fou, en somme, pour franchir sa barrière. Et devenir plus dangereux pour lui même ... Mais surtout pour autrui. C'est ce qui arrive à Shiro, dans ses accès de psychopathie. Le problème vient de là : le virus a libéré cette sorte de "pouvoir" afin que le jeune homme bénéficie d'une force hors du commun la plupart du temps, même s'il ne franchit jamais les 50% de sa capacité musculaire. La souffrance est terrible, et s'il pouvait l'éviter, il le ferait ...
Shiro a cependant une faiblesse, et pas des moindres. Son bras gauche ... Est souvent inutilisable. Sur une bonne partie de sa surface, il est recouvert de plaques grisâtres, stigmates du virus. Des crises de tétanisation le prennent, son bras convulse, et devient à nouveau amorphe. Et il reste paralysé pendant plusieurs heures, le rendant incapable de s'en servir. C'est un défaut, et c'est emmerdant quand il faut lutter. Mais on fait avec. Un bras qui fonctionne à moitié, c'est mieux que pas de bras du tout ...

Style vestimentaire & Manies/tics :
A FAIRE

Histoire :
A FAIRE

Code :

Vous.

Prénom : Peu importe.
Âge : Je sais plus :/

Constante de connexion : Dépend de mon boulot, de la fac, de mes potes, etc etc ...
Moyenne de lignes habituelles : A vous de juger. Vous diriez combien ?
Quelque chose à rajouter : Sympa le Css. J'accroche bien le scénar' à la FFVIIAC, ou Resident Evil ... Enfin bref caytrocool.

» Bou Tenshi [A finir]