Kodaka Shizuka

Merci chef !
Contente de vous connaitre ! ^^
Je fini dés que possible !

Non !! Je veux pas qu'on tappe mon patron moi ! >.<
Je vais vous protéger !
Et finir ma fiche en même temps !

Normal d'être loyal dans ce monde ravagé par la maladie et ... * BONG*
Ok j'arrête et je vais bosser ! ^^
Merci des compliments !

Merci !
Ho fais juste genre que ? Seulement ? T^T

*arrête de flooder va écrire !!!*

Ok ok !!

Oui oui monsieur le tyran !
J'ai rajouté le style véstimentaire ! J'avance j'avance ! Dés que tout est fait je viens trier vos papiers chef ! ^^

Une personnalité des plus intéressantes.
Le destin a voulu que nous soyons ennemis, mais ce n'est pas un mal au contraire, ça n'en sera que plus plaisant.
J'attend avec impatience ton histoire.

Merci pour ta bienvenue!

Merci beaucoup ! ^^
Peut-être nous croiserons nous qui sait ! J'aime beaucoup ton personnage aussi, d'ailleurs dans certains de tes passages cela m'a fait pensé à un livre que j'ai lu il y a un bon moment déjà. Félicitation en tout cas !

Merci ! J'y travaille en ce moment ! ^^
Je la finirai bientôt j'espére !!!

Excusez le double post, je met la suite ici ça ne rentrait pas ! ^^

Lettre de la base militaire de Tokyo
Le 28 Février 2035

Adressée :
Au Général Kodaka Chotaroh de l'armée de terre Japonaise.
Centre hospitalier des forces armées
Service de soins intensifs


Général Kodaka,

C'est étrange n'est-ce pas ?
Ce nom sortit de ma bouche. Je devrais vous dire autre chose général, vous trouver autre appelation que celle-ci mais les mots qu'il semble ordinaire à prononcer ou à écrire dans ce cas ne me viennent pas ; ou plus. Prenez le comme il vous plaira. Votre séjour à Okinawa semble se faire difficile m'a-t-on rapporté ; je devrais je suppose prendre le premier avion et vous rejoindre mais pourtant ne le ferai pas général. Vous me maudirez surement depuis ce lit d'où vous ne sortez plus depuis tant d'années ; mais peut importe c'est ainsi.

Vous souvenez vous Général ? Votre vie à Tokyo vous me l'avez raconté ... Avant ces années d'horreur qui on réduit votre chére ville en cendre, vous viviez avec une jolie femme dans une belle maison de cette capitale encore florissante à l'époque ; cette femme, votre femme. Vous vous souvenez de son prénom n'est-ce pas ? Elle s'appellait Hanako. Votre fleur, votre étoile, la seule que vous ayez aimer. C'était votre souffle de vie, votre lady butterfly ... Juste elle ! La seule flamme à votre passion et à votre coeur.

Vuos souvenez vous Général ? Cet éxil vers Okinawa pour fuir la maladie quand la contagion fut annoncée irréverssible et trop dangeureuse pour rester sur Tokyo. Comme vous l'avez mal vécu ; de quitter la ville qui vous avez vu naitre. Mais elle était à vos côtés, un bras au votre pour porter votre peine malgré ces frêles épaules. Et vous ne l'aimiez que plus.

Et comme vous l'avez haït n'est-ce pas ? Cette enfant qu'elle a mit au monde par une froide nuit d'hiver et qui vous l'a emportée. Votre cher ange a perdu ses belles ailes et a fermé les yeux. Que vous réstait-il d'elle une fois son ame partie ? Juste ce petit être enveloppé dans sa couverture blanche au fond de son berceau. Le corps froid de votre épouse sous terre que restait-il a part ce bébé que vous ne vouliez même pas prendre dans vos bras ? Vous ne vouliez même pas la voir, votre fille, la concrétisation de votre amour. Général pourquoi tant de haine ? Cette enfant vous ne l'avez même pas élevée alors ; pourquoi à ce point l'avoir brisée ?

Elle avait six ans vous vous souvenez ? La petite fille de votre Hanako. N'était-elle pas jolie générale dans sa petite robe de mousseline blanche ? Ses cheveux noirs volaient au vent et son sourire ... Vous vous le rappellez Général ? C'est celui-là même qui vous a séduit tant d'année auparavant sur le femme que vous aimiez. Elle lui ressemblait trop n'est-ce pas ? Trop belle pour vous laisser indifférent, mais enfant pour vous rappeller comme elle vous avait prit sa mère. Vous le saviez non, que de la haine à l'amour la barrière est bien fine ; éphémére ...

La cruauté était-elle indispenssable Général ? Verrouiller la porte de sa chambre et la laisser dans le noir vous apportez quoi ? Vouliez vous à ce point la rapprocher de l'enfer où sa mère était partie ? Briser ses poupées, la laisser nue dans cette boites à jouets délabrée, même son petit lit à baldaquin avait l'allure d'un vaisseau fantome ; Général pourquoi au fond ? Ses robes couvertes de dentelles et de froufrous en tout genre, vous les lui donniez pour mieux les déchirer quand vous la retrouviez ...
La toucher de gestes interdits était déjà beaucoup ; vous son père, pourquoi vous rabaisser à la torture ?

Cela faisait maintenant dix ans que vous la teniez comme ça Général ! Dix années à lui faire subir votre corps qu'elle ne désirait pas ! Dix ans rendez vous compte ; qu'elle ne voyait plus la lumière du soleil depuis lors ; Génréral, avez vous une seule fois remarqué les larmes qu'elle refusait de verser ? Et cette nuit, avec cette pointe de fer brulée sur sa peau vous avez soigneusement signé votre oeurvre : "You are mine", en lettres sanglantes dans le creux de ses reins. Vous n'avez pas écouter ses cris, elle voulait serrer les dents pourtant, mais cette douleur là dans sa chaire, ne lui a pas laissé le choix.

Vous vous souvenez Général ? Avoir continué comme ça pendant encore une année. Puis on vous l'a découvert, ce cancer qui vous à écarté de son visage et de sa voix, votre seul souvenir. Votre dernier lien avec Hanako, mais aussi l'objet de toute votre haine.

Personne ne savait qu'elle était là, enfermée là dedans sans rien ni personne. A force de frapper la porte, de la gratter aux ongle elle a finit par sortir. Par tout détruire dans cette maison qui était la votre. Ses larmes n'avaient pas de fin et comme elle a pleurer seule dans ce carcan immonde. Comme elle a tout briser, jusqu'au meuble pour essayer d'oublier. Puis elle a trouvé votre réserve d'armes ; alors elle a essayé, dix fois, vingts fois, cent fois. Pendant plus d'un an dans sans quitter cette ruine elle a apprit à se défendre de tout ceux qui voulaient entrer là-bas. Des contaminés réfugiés qui cherchaient un lieu ou dormir et voulaient profiter d'elle comme vous avant. Elle les a tué, avec vos revolvers, avec ce couteau aux armoiries de votre famille. Cette lame affutée comme du verre, combien de gorges a-t-elle tranché depuis ? Même vous ne le savez pas ...

Puis elle est partie vous savez ? Elle a érré, déambullé dans les rues pour revenir là où elle est maintenant. Devant cette base militaire où on la chahutait encore. Les hommes riaient ; une fille en loque à moitiée nue sans rien à part une arme à la main et une détermination froide. Il a fallut que lui arrive ! Que cet homme là les fasse reculer et qu'il ne lui accorde qu'un regard pour qu'elle lui fasse confiance. Il a ordonné que l'un des soldats retire sa veste et lui a doucement posé sur les épaules. Un sourire. Un seul sourire depuis qu'elle le connait. Mais il lui a donné quand même ; et a tendu la main. Sans une parole, sans un mot pour lui proposer de le suivre et de changer de vie.
Vous souvenez vous Général de cette valeur qu'est la confiance ?

Elle lui a accordé et depuis ne vit que pour le servir et lui rendre service, elle veux le décharger au maximum de la tâche qui est la sienne, lui apporter tout son soutient comme lui l'à fait en lui rendant tout. Dans cette base elle peux de nouveau vivre pour elle même. Au moins là elle a le respect qu'elle mérite et ce qui lui a manqué. Elle a réapprit à vivre Général.

Ne vus inquiétez pas de son sort Général, elle s'en est sortie malgré tout. Malgré votre haine et vos actions, elle est encore là Général. Oui ... Encore.

Ce sont probablement les derniers mots que vous aurez de moi Général, et probablement les derniers que vous lirez ou que l'on vous lira. Dans cet hopital où vous déclinez de jour en jour vous ne tarderez pas à vous éteindre, comme Hanako avant vous. Enfin vous allez la retrouver votre déesse ; vous allez enfin pouvoir la toucher de nouveau, si l'enfer ne vous enlace pas totallement et ne vous sépare pas.

Ma lettre était longue n'est-ce pas Général ? Surement aurais-je dû vous dire ça de vive voix mais m'auriez vous écouté ? Non ; moi même je n'aurai pas sû vous parler. C'est bien ainsi Général, c'est bien ainsi ... Je dois maintenant mettre un terme à ce courirer ; vous m'excuserez.

Adieu Général.
Tachez de reposer en paix malgré tout ; car je suis bien incapable de vous souhaitez autre chose.
Adieu alors ... Papa.

Kodawa Shizuka

[J'ai fini ! ^^]

Merci chef ! ^^
Enfin, chef des contaminés quoi !! Puisque mon chef à moi l'est pas là !