Akai Nakamura.

Admin Messages : 230 Date d'inscription : 09/08/2008

Identité.

Avatar : Ishihara Takamasa.
Nom : Nakamura.
Prénom : Anciennement Akahide, actuellement Akai.
Âge : 30 ans.
Orientation Sexuelle : Bisexuel.

Rôle au sein des Soldats : Général.

Arme(s) fétiche(s) :
Arme(s) fétiche(s) : Akai avouera ne pas avoir de goût précis en matière d’armement, maniant tout aussi bien les armes blanches que les armes à feu. Un sabre lui irait aussi bien qu’un 9 Mm. Cependant, il avoue adorer le fouet, tout comme le leader du camp adverse… Allez savoir pourquoi. [8D]

Profil.

Caractère :
Akahide Nakamura. Un homme timide, n’osant dire mot à quiconque. Quelqu’un qui reste pourtant sentimental, et qui voue une passion dangereuse à la science. Quelqu’un à qui on pourrait faire du mal, tant l’innocence qui se lit sur ses traits semble jouissive à briser. Une personnalité simple, mais pourtant difficile à cerner. Ce n’est aucunement un homme violent, au contraire, il avouerait détester la violence et tout ce qui peut y avoir rapport. C’est bel et bien pour cela qu’il a choisi de faire parti des scientifiques de l’armée, pour ne pas avoir à faire avec les contaminés et ainsi être contraint à se battre. Evidemment, même si l’attardement ne s’est pas fait concernant sa timidité, elle reste maladive. Tellement qu’il ose à peine bouger lorsqu’une personne le fixe, hésitant certainement entre s’évader à toutes jambes ou faire comme si de rien n’était. Les sentiments, la romance et tout ce qui peut s’accorder à l’amour est quelque chose d’omniprésent chez lui. Sa sympathie pour Kosuke Yaguchi se serait révélée être en vérité de l’attirance, pour finalement se trouver être de l’amour. Des sentiments qu’il n’avouera certainement jamais, n’étant plus Akahide Nakamura à l’heure qu’il est...

Akai Nakamura. Un homme mauvais. Méprisable. Exécrable. Nerveux. Violent. Rempli de haine et de ressentiments à l’égard de toute personne puisse-t-elle exister sur cette terre. Mais beaucoup plus pour les contaminés, tous autant qu’ils sont. D’un caractère fort et marqué, le Général est quelqu’un d’horriblement froid et antipathique. Un simple regard vous glace le sang. Sa voix reste toujours la même, comme une mélodie monotone qui ne trouve sa source que dans la froideur et le mépris. Parfois, elle se fait plus violente et vile. Prouvant une certaine animosité, et une rage incontrôlée. Car la personnalité du Général, marquée par divers points totalement différents, reste cependant très instable. Il peut être tout à fait calme un instant, alors qu’à la seconde qui suit il entrerait dans une colère noire, deviendrait horriblement violent et détruirait tout sur son passage. Concernant les sentiments, Nakamura ne laisse rien paraître à part peut-être cette sensation de blessure totale, d’un déchirement amer. Il aurait voulu oublier ceux qu’il avait pour Kosuke, mais son amour ne fit que s’accroître lentement dans le silence total de son cœur, entouré de pierre et de chaînes. Il s’empêchait de prouver qu’il restait humain, malgré ses actes complètement bestiaux et déplacés. Yaguchi ne devait rien savoir de tout cela.

Physique :
Akahide Nakamura était un jeune homme d’apparence fragile, comme s’il pouvait se briser au moindre contact, violent ou non. De longs cheveux châtains, tellement longs qu’ils paraissaient interminables, ornaient son visage fin et féminin. Quelques mèches barraient d’ailleurs ses grands yeux noirs et brillants, accentuant cet air timide bien présent sur son visage. Ses traits se prolongeaient avec grâce, donnaient à son minois une certaine androgynéité presque dérangeante. Son nez, tout aussi fin que le reste de son visage, et légèrement recourbé confirmait cette féminité comme ses lèvres, qui étaient elles, pulpeuses et tentatrices malgré la pureté qui se dégageait de son apparence. Cependant, ses mains étaient certainement la partie de son corps qui attirait le plus le regard, presque autant que son visage. Fines et graciles, elles possédaient de longs doigts aux ongles parfaitement propres et peut-être un peu trop longs d’après certaines personnes. Aucun défaut ne se présentait sur les parties apparentes de son physique, tellement qu’on qualifiait encore son épiderme de « peau de bébé ».

Akai Nakamura est un grand homme, atteignant le mètre quatre-vingt sans problème. Une silhouette longue et filiforme, presque squelettique au premier regard lui fait office de corps. Cependant, même si son corps ne paraît que trop mince, la musculature est pourtant présente, certes cachée par ses vêtements, mais bien là tout de même. Des abdominaux aussi durs que du béton, et des os si forts et épais qu’ils sont saillants. Ses mains qui autrefois étaient l’incarnation de la grâce et de la beauté sont désormais terriblement osseuses, et d’énormes veines bleuâtres en coupent le dos pour continuer sur ses bras. Ses nerfs ressortent également, formant comme des lignes en relief partout sur son corps. Ses ongles, toujours aussi longs, ressemblent cependant plus à des griffes qu’autre chose. Son visage, toujours aussi fin qu’avant, est cependant tiré par des traits coléreux, presque haineux. Quelques rides agressives arborent le tour de ses yeux, accentuant les cernes et poches interminables présentes sous ses yeux. Yeux qui, suite à l’incident du laboratoire, ont trouvé intéressant de devenir rouges. Un rouge vif, ressemblant étrangement à ce liquide à l’odeur cuivrée qu’est le sang. Ses cheveux ayant également changé de teinte, sont devenus noirs, et très secs. Sa chevelure s’étant également raccourcie à cause de la chute de cheveux forme une coiffure étrange, ressemblant à un décoiffage volontaire. Ce qui reste pourtant bien mystérieux, ce sont les diverses cicatrices et brûlures qui parcourent la totalité de son corps, étant étrangement plus abondantes sur ses bras.

Style vestimentaire & Manies/tics.
Un style vestimentaire propre à lui-même ? Evidemment, Nakamura n’en possède pas. Bien que le noir soit omniprésent dans ses tenues, et constitue son uniforme militaire en totalité, son look n’est pas quelque chose de précis et qui sort de l’ordinaire. En revanche, ses diverses manies et autres tics sont plus intéressants et méritent certainement plus que ses vêtements à être cités. Concernant les manies, on pourrait dire que tirer sur tout ce qui bouge en soit une. Chaque mouvement à l’extérieur de la base constitue une menace pour lui, et il se sent donc obligé de tirer. Une autre manie constitue le fait de toujours réajuster sa veste d’uniforme après chaque chose de faite. Un dossier rangé, un tire ajusté… N’importe quoi. Ses tics, étant plus nombreux et spéciaux autant qu’incontrôlables et dangereux font l’objet d’une certaine étude de lui-même qui nécessite des capacités intellectuelles et de compréhension bien au-delà du socle standard. En vérité, Nakamura possédant bien trop de tics pour qu’ils soient dénombrés, nous ne survolerons que les plus fréquents.
Un tic maladif et légèrement dangereux revient très souvent : celui de se mordre la lèvre à sang lorsque quelque chose, ou quelqu’un le contrarie. Ses dents, très voir trop pointues arrachent la chair de sa bouche avec violence.
Un autre tic, tout aussi dangereux que le premier revient cependant un peu moins : planter ses ongles dans sa peau pour calmer les crises d’angoisse, d’hystérie ou de colère qui le prennent, à s’en faire saigner.

Histoire :
Poste suivant.

Code : [8D]

Vous.

Prénom : Akira.
Âge : 99 ans. 8D

Constante de connexion : 7j/7 normalement.
Moyenne de lignes habituelles : Une à trois pages Word.
Quelque chose à rajouter : Quatre pages Word pour cette fiche. J’ai mal aux neurones. XD

Admin Messages : 230 Date d'inscription : 09/08/2008

Histoire :
La famille Nakamura. Etrangement, ce nom ne disait rien à personne auparavant. Tout simplement car les précédentes générations n’eurent et n’auront jamais connaissance de l’existence du dernier des Nakamura. Cette famille n’avait jamais été illuminée par un quelconque exploit, que ce soit en bien, ou en mal. Au contraire, ils avaient toujours passé leur vie dans l’ombre des autres, ne cherchant jamais à faire imprimer leurs noms sur le journal, ou à n’importe quel autre endroit. Ils ne connurent jamais la célébrité, ils se contentaient de se fondre dans la masse, sans jamais essayer de se faire remarquer. Cette famille était délibérément la discrétion incarnée, qu’on le veuille ou non. Ainsi, chacun pouvait faire ce qu’il avait à faire, sans être interrompu par une quelconque autre personne. Car c’était là, l’autre point étrange qui planait chez les Nakamura. La solitude. Aussi présente soit-elle au sein même du cocon familial. Car même si Mazakatsu Nakamura aimait sa femme Kozakura, son fils aîné Densaburô et son fils cadet Akahide comme la prunelle de ses yeux, des barrières que trop visibles se dressaient entre chacun des membres de la famille. Et le plus jeune se retrouvait bien trop souvent esseulé, en comparaison à ses besoins d’amour insatisfaits. Il n’était encore qu’un enfant, après tout. Il ne pouvait –et ne voulait- pas se passer des bras de sa mère, tellement qu’il essayait sans cesse d’attirer son attention. Attention qui était rejetée, de manière brutale. Akahide ne connu que la brutalité durant toute son enfance, et elle perdura durant son adolescence. Car c’est à l’âge de cinq ans seulement qu’une étrange malédiction s’empara de sa ville natale, Tokyo. Et qu’un virus, tout aussi étrange que la malédiction, apparu pour contaminer bon nombre d’habitants. Bizarrement, aucun des Nakamura ne fut atteint par la maladie. Ils choisirent de s’isoler le plus possible, sans pour autant priver leurs enfants de l’éducation qui leur était due. Les hostilités faisaient rage entre chaque être humain, infecté ou non. Des clans se formaient, et une vingtaine d’années plus tard, un décret tomba.

« Au jour d’aujourd’hui et malgré les mesures strictes de sécurités prises par l’état, il est devenu extrêmement dangereux de vivre dans notre capitale. En effet, il a été prouvé que, la maladie qui semblait jusqu’à présent n’atteindre qu’une légère partie de la population et qui pourtant continue sa progression démesurée, rendait, toute personne contaminé, violente et néfaste pour notre peuple. Aussi, pour la sécurité de nos citoyens il est devenu impératif dès à présent de purger notre cité afin de se défaire de tous risques potentiels.
C’est pourquoi j’ordonne désormais, la création d’unités d’élite chargées de débarrasser la ville de ces créatures et ce par tous les moyens nécessaires. Ils seront aidés qui plus est par nos meilleurs scientifiques afin de trouver au plus vite un moyen d’éradiquer définitivement l’agent pathogène. »

Akahide était alors âgé de vingt-cinq ans, lorsque cet article compléta le discours du président. Président qui autorisa l’armée à choisir ses Soldats parmi les tokyoïtes, tous autant qu’ils étaient au dessus des dix-huit ans. L’aîné de la famille –ici âgé de trente et un ans- fut choisi pour être militaire. Arme à la main, uniforme au corps... Violence au coin de l’œil. Tandis que le cadet, lui, se dirigea vers les forces scientifiques de l’armée. Les années passaient, le nombre de contaminés explosait et le virus semblait loin d’être au point. Cependant, les chances de réussite augmentèrent lorsque l’équipe de Densaburô fit prisonniers la plupart des malades, et qu’ils furent envoyés au laboratoire pour une petite récolte de sang. Ligotés, en toute incapacité de bouger, les infectés ne pouvaient pas faire grand-chose lorsque les prélèvements étaient faits. Alors qu’un dénommé Kosuke Yaguchi faisait son apparition parmi les prisonniers, Akahide fut contraint –ou pas ?- de le soumettre à des tas de tests, prenant cependant le temps de faire connaissance avec le jeune homme. Il semblait vouer une haine profonde à l’égard des militaires, et tout particulièrement à ceux qui cherchaient après la création d’un virus pour les exterminer. Autrement dit, les scientifiques. Une étrange relation s’installa alors entre eux, et sans même qu’Akahide ne s’en rende compte, des sentiments naissaient à l’intérieur de son cœur. Sentiments dont il ne connu la signification qu’avant le départ de Kosuke. Et qui résultèrent dans leur dernière discussion.

« - On ne fera pas de test aujourd’hui.
- Quel dommage. Pourtant j’aime beaucoup ça moi les aiguilles, ça m’excite. Mon côté maso sans doute.
- Kosuke, tes blagues pas drôles tu les gardes au chaud pour plus tard. J’ai fait ça pour toi, tu sais…
- Oui je m’en doute, les coups, les insultes, les tests à répétition non franchement j’adore. On s’occupe vraiment bien de moi ici, j’ai même droit aux fouets si c’est pas adorable ça.
- Kosuke... Si ça ne tenait qu’à moi, je ne te ferai pas souffrir comme ça, et tu le sais. Si je pouvais, je prendrai volontiers ta place, rien que pour te soulager de cette peine...
- C’est touchant, j’en suis tout émoustillé. Je te ferai bien un câlin pour te remercier mais j’ai les mains prises. Enfin ça veut pas dire que je t’aime plus. »

Ces mots furent les derniers que le jeune scientifique entendit du prisonnier, car celui-ci s’évada durant la nuit, malgré la garde très oppressante qui l’entourait. Peu de temps après, les frères Nakamura apprirent une terrible nouvelle : leurs parents étaient décédés, tués par des contaminés. Densaburô ne prit même pas le temps de réfléchir que la rage s’emparait déjà de son esprit, le forçant à fuir la base militaire pour aller décimer le camp adverse. Ce qu’il n’avait cependant pas prévu était que les malades pourraient l’en empêcher. Et ce qui devait arriver, arriva. Le frère aîné d’Akahide se fit tuer, et rejoignit ses parents au cimetière, laissant derrière lui son jeune frère et sa femme dans l’incapacité d’arranger les choses. Car oui Densaburô était marié. Mais pas à n’importe qui, ça non. Son épouse n’était autre que la belle Ruri Kuze, autrefois appelée Mme Nakamura. Certainement encore plus blessée que son beau-frère, celle-ci ne laissait cependant rien voir de ses sentiments. Tandis que lui... Une haine profonde assaillit son cœur, le dévorant de l’intérieur. Il restait en apparence très doux et timide, mais son fort intérieur témoignait le contraire. Il bouillait, au plus profond de lui-même. Il brûlait de désespoir, de haine, de désir de vengeance. Alors qu'il travaillait sur un virus pour éliminer les assassins qui avaient touché à ses parents et son frère, ainsi que tous les autres contaminés, il fit un faux pas. Pas le genre de faux pas qui n'a pas d'importance, bien sûr que non. Ce soir-là, il était seul au laboratoire. Et il venait de faire tomber l'ultime flacon qui était sensé contenir le virus destructeur. Sur lui-même. Le liquide se mit à brûler peu à peu la surface de ses vêtements, jusqu'à désintégrer sa peau en elle-même, détruisant toutes les cellules apparentes et se propageant à l'intérieur de son corps. Le virus lui monta à la tête, et détruit certaines parties de son cerveau, organe essentiel au bon fonctionnement du corps. Les pathogènes génétiques furent quasiment tous brûlés, mais étrangement remplacés par d'autres. Sa personnalité et ses changements physiques en résultèrent. Il passa la nuit dans le laboratoire, endormi dans un coin de la salle. Et le lendemain matin, quelle ne fut pas la surprise de ses collègues lorsqu'ils le retrouvèrent à moitié nu, recroquevillé sur lui-même quelque part dans le labo ? Surprise qui ne dura cependant pas après son réveil, car la rage qui l'habitait devint incontrôlable, et il s'attaqua à ses semblables, les tuant tous sans la moindre exception. Il s'enfuit alors, sans que personne ne puisse savoir de qui il s'agissait, ses empreintes génétiques étant devenues illisibles.

Quelques mois plus tard, un certain Akai Nakamura fit surface, et détrôna le Général pour prendre sa place. De quelle façon ? Personne ne le savait. La seule chose qu'on avait pu remarquer était que l'ex-général n'était plus en mesure d’être contacté, comme s'il avait subitement disparu... Alors qu'Akai était promu à son nouveau poste, il fit une rencontre inattendue. Le leader des contaminés, ou Kosuke Yaguchi. Ce dernier ne semblant pas tellement le reconnaître, Akai fut forcé de lui avouer certaines choses le concernant. Comme le fait qu'il était en fait Akahide Nakamura, le scientifique qui l’avait gardé bien trop longtemps auprès de lui. Mais il avait bien changé. Trop changé. Il n’était plus cet homme timide et discret. Justement non... Il était devenu le Général Akai Nakamura, un homme sans cœur ni principe, et qui ne laisserait pas les infectés s’en tirer si facilement...

D’ailleurs, durant son ascension jusqu’au pouvoir, un certain Nobuo Katsura lui démontra sans trop de mal son admiration pour lui. Et cette dévotion qu’il lui vouait suffit à Nakamura pour le promettre à son nouveau poste : il était désormais le Sergent Katsura, le bras droit du Général. C’était lui, le plus attentif à ses actions. C’était lui, qui le suivait dans tout ce qu’il pouvait faire ou entreprendre. C’était lui, qui était toujours de son côté et là pour approuver ses initiatives. Et ce fut lui, qui l’averti de la venue d’une jeune femme au devant de la base. Cette situation l’intriguant fortement, Akai se vit contraint d’aller voir de quoi il en retournait. Et ses mots ne dépassèrent même pas ses actes lorsqu’il vit cette fille, presque nue, l’arme à la main. Sa voix s’éleva, un timbre autoritaire et froid, presque méprisable à l’égard d’un des soldats qui osait se moquer d’elle.

« Ta veste. Donne-la moi. »

Il ne lui en fallut pas plus pour obtenir ce qu’il désirait, et une fois le vêtement en main, il s’approcha de la jeune femme. Un sourire mince apparu sur ses lèvres alors qu’il posait le tissu sur ses épaules, mais qui s’éteint bien vite –trop vite- tandis qu’il lui demandait son nom. Une voix faible lui répondit, mais quand bien même très sûre d’elle par rapport à la situation, et Nakamura découvrit que cette jeune femme se nommait Shizuka Kodaka. N’en demandant pas plus, il lui tendit sa main et l’escorta à l’intérieur des bâtiments, l’amenant à ses quartiers en attendant de lui trouver sa propre chambre et des vêtements adéquates. Depuis ce jour, même s’il ne le criait pas sur tous les toits, le Général Akai Nakamura avait la prétention de la considérer comme la fille qu’il n’avait jamais eue, et n’aurait sans doute jamais.

Admin Messages : 216 Date d'inscription : 05/08/2008

C'est parfait.
Ca m'étonne pas de toi <3 C'est superbe.

Je le dis même si tu le sais déjà.
Tu es validée x]

Admin Messages : 230 Date d'inscription : 09/08/2008

Depuis quand faut valider un admin ? 8D
& Merci Chaton. <3

Admin Messages : 216 Date d'inscription : 05/08/2008

Depuis maintenant. x]
Ca faisait plus officiel t'sais. 8D
<3

Admin Messages : 230 Date d'inscription : 09/08/2008

Geeenre. xD
J'te vois bien là :

« Je, sousigné Kosuke Yaguchi, décrête que vous, Akai Nakamura, êtes validé aux yeux de la loi. »

<3.

Admin Messages : 216 Date d'inscription : 05/08/2008

Pas besoin, c'est moi la loi. 8D
*sors*

Enfin trève de bétises.
^^

Patron c'est tafille par adoption !!!
Quelle belle fiche ! Superbe ! Bravo bravo !

Admin Messages : 230 Date d'inscription : 09/08/2008

Vas-y, sors de mon topic 'spèce de pollueur.
XD.

Merciiiiiiiiiiii Shizukaaaa. <3

De rien j'adore !!
Quel talent MAITRE !!!

Admin Messages : 230 Date d'inscription : 09/08/2008

MAITRE ?!
OH BON SANG JE ME SENS SUPERIEUR !

[--> Flatte pas trop mon égo c'est mauvais pour la santé d'autrui... <--]

Mais tu es le mien de maitre nah !