Sakki Ryuuketsu
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Date d'inscription : 10/09/2008
Age : 39
Localisation : St. Library...
 | Sujet: Sakki Ryuuketsu  Mer 10 Sep - 4:35 | |
| Identité.
Avatar : Shinya Terashi
Nom : Ryuuketsu
Prénom : Sakki
Âge : 23
Orientation Sexuelle : Hétérosexuel
Rôle au sein des Contaminés : Contaminé
Arme(s) fétiche(s) : Ses ongles longs et pointues, ses dents acérés…
Profil.
Caractère :
Sakki n’était pas comme tous ses fous qui sillonnés les couloirs des hôpitaux psychiatriques. Non, on le définissait plutôt comme un détraqué sensé. C'est une personne très calme, d'un air sérieux, froid avec un sourire sadique. Il ne parle que très peu, juste quand il le faut… Il ne montre aucune émotion à part son sourire pervers, il n’est jamais à court de stratagèmes pour arriver à ses fins. Mais tout peut changer au contact du sang…
Devenant imprévisible, dangereux, fou, criant comme un malade après la mort et la désolation.
Sa seule motivation, la chaleur humaine que lui procure le sang, son goût dans la bouche, la douceur des filaments de la chair craquer à l'arrachage de peau entre ses dents. C’est un cannibale et un nécrophage psychopathe.
Ca dernière demeure fut l’hôpital psychiatrique le plus tristement célèbre pour les types de fous qui y résident.
Mais il a parcouru d’autres hôpitaux psychiatriques
C’est un jeune homme pourtant très intelligent, très machiavélique, très sournois et rusé.
Physique :
Sakki est de taille moyenne, peut être un peu plus grand que la normale. Ses particularités sont ses cheveux de couleurs blancs, un pur albinos et ses yeux dont on pourrait croire composés de deux pupilles, le milieu d’un noir profond entouré d’un gris clair. Ce qui semble parfois être interprété comme des lentilles brillant au contact du soleil.
Sa peau suit la couleur de ses cheveux, plus clair qu’à la normale et le bord de ses yeux son rouge comme si il était constamment éveillé.
Et ses particularités n’ont fait que s’accroître au contact du virus…
Il a beaucoup d’assurance si il ne devient pas euphorique à l’odeur de la chair fraîche.
C’est plutôt un beau jeune homme, peu sociable et mystérieux.
Autre point bizarre, il laisse pousser ses ongles jusqu’à une certaine limite pour ensuite les sculpter en pointe et ainsi perforer la chair de ses victimes.
Le plus souvent ses cheveux cachent une partie de ses yeux et la moitié de son oreille droite est arrachée.
Style vestimentaire & Manies/tics.
Parcourant la ville dévastée de Tokyo, il trouva un cadavre en costume, il le dévêtit et remplaça ses vêtement d'hôpital par un costume 3 pièces. Chemise blanche, veste noire et pantalon noir ainsi que des basquettes blanches dont ne sait où, ce qui lui donne une grande assurance et un sérieux hors norme.
Après quoi, il dévora une partie du corps pourrit par terre.
Il est incontrôlable à la vue du sang… Il en devient un monstre affamé.
Il lui arrive de penser à sa vie d’avant, ses parents… il en devient nostalgique et le Sakki qu’il était essaye de se battre contre le monstre qu’il est devenu.
Histoire : [Warning : C’est long mais nécessaire, parfois un peu gore]
Né dans une famille de campagne, Sakki vivait paisiblement loin de la pollution des villes et de sa cruauté. N’ayant pas beaucoup de contact, il n’a jamais vraiment eu d’ami. Mais ne goûtant pas aux joies de l’amitié, il n’en avait pas un soupçon d’existence. Son père était un passionné de chasse et il y passé la moitié de son temps en compagnie d’autres chasseurs aussi dingue de ce loisir.
La chasse, plus qu’un mot pour Sakki, un autre monde où tout est permis, même le meurtre d’animaux inoffensifs que ce soit des faisans, des cerfs, des lapins ou autres que son père ramené à la maison à chaque sorties.
Sakki étant trop jeune, rêvait du moment où il pourrait accompagner son père quand celui-ci décidera qu’il sera enfin prêt à tenir une arme et faire feu.
Ce jour là arriva, le jour de ses 16 ans, son père lui offrit une carabine d’occasion et l’invita à rejoindre le groupe des hommes… les chasseurs, des héros aux yeux de Sakki, partant à la guerre, en pleine jungle peut-être, contre de féroces créatures plus grosses qu’eux, que même son père n’osait ramener avec lui tant leur corps ne pouvait être déplacé.
L’extase, l’euphorie, Sakki allait goûter aux joies de cette guerre, les hommes contre la nature. Arrivé au bord d’un petit bois, le sifflet retentit, Sakki ne lâchait pas son père d’une semelle, ni son arme. Il ne fit pas longtemps pour entendre des coups de feu au loin, ce qui procura à l’enfant une sensation nouvelle qu’il ne connaissait pas, c’été à la fois effrayant et excitant.
Il fallait qu’il tire, il lui fallait une victime à tout prix. Ce ne fut pas long, un cerf à 20 mètres, le père et le fils couchés sur le sol, laissant l’enfant se baptiser à l’art de la chasse. Sakki n’écoutait pas les conseils de son père, il n’en avait rien a faire, ses yeux été remplis d’insatisfaction et il fit feu, la balle traversa l’air pour se loger dans la carotide de l’animal. L’arme trembla, ses mains avec, l’extase totale.
Alors, il courut vers sa victime, se précipitant sans réfléchir n’écoutant pas les cris de son père. Alors qu’il n’était plus qu’a 5 mètres de la bête, une douleur atroce se fit sentir, il tomba sur le cerf dont la carotide le plongea dans une mare de sang.
Il venait de se prendre une balle, arrachant la moitié de son oreille droite.
C’est à ce moment là, couché sur la bête, recouvert de son sang, qu’il sentit cette chaleur si intense, la sang de l’animal commençait à le recouvrir, ce même sang qui le faisait chavirer dans le délire, la chaleur que lui procuré ce sang, la douceur du fluide le recouvrant, l’odeur de cette essence de vie qui lui parcourait les narines jusqu’au plus profond de ses entrailles.
Il respirait de plus en plus fort, un sourire se dessina sur ses lèvres.
Ca venait de se réveillait…
Et c’est à ce moment bien précis, qu’un détraqué venait de naître.
Le détraqué se releva, couvert de sang et enfonça ses deux index dans le trou que sa balle avait perforée dans la chair de l’animal et avec toute sa frénésie, il arracha la peau de la bête, la déchiquetant, retirant tout les morceaux de chair afin d’étaler plus de sang sur son corps. Il respirait très vite, comme si il en faisait une overdose.
La bête commençait à ne plus ressembler à rien et après s’être enduit de la substance rouge, après avoir retiré tout les organes avec acharnement, comme un enfant complètement ivre déchirant le papier cadeau, il y forma un trou à la place du ventre avant de s’y introduire lui même du plus qu’il le pouvait.
De la bave sur ses lèvres, de la furie dans ses yeux, de l’extase, une euphorie totale, une délectation. Le sang que lui procurait cet animal l’envoya dans un état psychotique.
Tout ça ne dura que 2 minutes, l’enfant s’était acharné avec férocité sur l’animal afin de se réchauffer de cette chaleur si intense, si envoûtante que le fluide rouge procuré, étant blottit dans ce qui resté du ventre de la bête. Son père affolait par le coup de feu d’un de ses compagnons qui avait pris son fils pour du gibier l’aperçut ainsi que les autres chasseurs, il en fut choqué, les mots ne lui venant plus, il retira son fils du tas de chair et partit avec Sakki dans ses bras, celui-ci ne se débatta pas, mais il y lança un dernier sourire macabre en direction des chasseurs et du amas de chair.
Depuis le jour de ses 16 ans, Sakki n’a d’yeux que pour la chasse, mais depuis ce jour, il ne fut plus ce qu’il était. Un être pervers, assoiffé de sang venait de prendre vie, broyant avec facilité l’ancien Sakki. Son père prenant sa réaction comme un effet secondaire dû au choc et à la peur de la balle qui avait déchiqueté son oreille droite de moitié décida après quelques semaines d’effaçait ce mauvais souvenir en le ramenant une deuxième fois à la chasse.
Chose qu’il n’aurait jamais du faire…
Le chasseur qui lui avait arraché involontairement son oreille avait été retrouvé allongé sur le sol, les boyaux à l’air, le ventre écartelés et une mare de sang conduisant 4 mètres plus loin à Sakki, tenant en main un morceau de boyau, le serrant très fort dans ses mains, comme une fillette protégeant sa poupée contre tout danger. Le sang du chasseur couler de la bouche de Sakki. Le chasseur s’était pris une balle dans le ventre et une autre dans la carotide, Sakki avait tiré à bout portant alors qu’il faisait semblant de sympathiser avec lui.
Il fut interné dans un hôpital psychiatrique pour jeunes détraqués, hôpital Kuruu dans la capital de Tokyo. Son état ne s’arrangea pas, au contraire, par plusieurs reprises entre délits de coups et blessures sur d’autres pensionnaires, parfois effusions de sang qui pouvait tourner vite au drame sans l’intervention des gardes. Il fut isolé, trop dangereux pour les autres. Deux ans passèrent et son état n’avait qu’empiré, il venait d’avoir ses 18 ans, mais étant trop âgé pour ce genre d’établissement, il fut interné à l'hôpital psychiatriques de Nukitai dans la ville de Nagoya. Malheureusement, la direction n’avait pas eu information de son état psychotique dangereux et lui on attribué une chambre avec colocataire.
Ce même colocataire qui hurla à la mort la première nuit de Sakki à Nukitai, des hurlements terribles sortaient de la chambre, les gardes ont du forcer la porte pour ne pas perdre de temps à retrouver la bonne clé. Ils y découvrirent une abomination, une vraie boucherie, un corps déchiqueté, le ventre ouvert, les boyaux éparpillés un peu partout et une trace de sang énorme conduisant au détraqué dans un coin sombre de la pièce. Sakki s’était de nouveau recouvert de sang, tenant dans ses mains des morceaux d’organes afin de se réchauffer de la vie de son défunt colocataire, se délectant de son goût si euphorisant.
Ses cheveux blancs cachant une partie des ses yeux étaient teintés de rouge, percés par la substance de l’extase et de l’euphorie. Son sourire en disait long sur son état. Il était heureux, il avait enfin pu recommencer, non, il n’y avait pas mieux pour lui.
Après deux jours et une nuit à Nukitai, on l’expédia dans le pire établissement du pays, connut tristement pour ses pensionnaires, des meurtriers détraqués, n’ayant aucune notion de la réalité, les pires dingues enfermés dans un seul et même endroit, l'hôpital psychiatriques des meurtriers, Kuruwasu à Tokyo. Hôpital isolé de toutes habitations. Il y fut lui même isolé comme tout pensionnaires de cet établissement dans une chambre cloisonné de coussins, les bras liés par une combinaison. Il y résida pendant 5 ans. Pourtant isolé, un jour alors qu’on venait lui apporter son repas du midi, il agrippa le bras du pauvre gardien qui faisait passer le plat par une trappe de la porte n’ouvrable que de l’extérieur. Les longs ongles du jeune homme traversèrent sa peau et ses dents broyèrent la chair. Le gardien s’en était tiré bien que l’usage de son bras ne soit plus très potable. Le jeune homme avait laissé ses ongles poussés de sorte de les sculptés en pointes avec ses dents pour qu’ils pénètrent plus facilement dans la chair ce qui fut une réussite! Un véritable succès.
Il avait réussi à se détacher de sa combinaison mais personne ne pu comprendre comment il avait fait.
Il commençait à faire peur aux autres pensionnaires qui avaient encore un minimum d’esprit pour comprendre tout le danger d’un tel détraqué…
Le directeur ne pouvait plus le garder, c’été un danger, on ne pouvait rien faire. Pendant des mois, il chercha un endroit pire que celui dont il était directeur, mais en vain.
Et puis un jour, des cris de terreurs, des hurlements d’agonie résonnait aux alentours de l'hôpital psychiatrique…
La contamination faisait rage dehors…
Sakki était assis dans un coin de sa cellule, écoutant avec euphorie ces cris de douleurs qui le faisait jubiler… Ne comprenant pas qu’a son tour le virus était en train de pourrir son corps, le contaminant, le rendant plus fort encore… Il finit par tomber dans un profond sommeil.
Après 2 jours de coma, Sakki se réveilla, se sentant tellement plus fort, plus puissant encore…
La porte de sa cellule était grande ouverte…
La ville de Tokyo… il pouvait y sentir l’odeur du sang qui s’y émanait…
Le cannibale… le nécrophage… le psychopathe…
La détraqué afficha un sourire sadique…
La chasse est ouverte…
Note : Sakki fait parti des contaminés, il se nourrit des cadavres et des personnes non contaminés car leur sang est meilleur et ne le rend pas malade au contraire du sang des contaminés. Il s’allie aux contaminés quand il a l’occasion de pouvoir goûter à la chair des soldats. La plupart du temps, il erre dans la ville dévastée, seul…
Il ne s’attaquera donc pas instinctivement aux contaminés, mais bien aux soldats et à toutes autres personnes n’ayant pas été atteintes du virus.
Code : [OK]
Vous.
Prénom : Kris
Âge : 23
Constante de connexion : 5/7
Moyenne de lignes habituelles : Le nécessaire...
Quelque chose à rajouter : Non
Dernière édition par Sakki Ryuuketsu le Ven 12 Sep - 13:07, édité 9 fois | |
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